
Après dix ans de collaboration, Sylvain Huc et Mathilde Olivares écrivent et dansent ensemble pour la première fois. Cette création naît d’une forme singulière d’amitié, façonnée dans la danse mais nourrie aussi par une réflexion partagée sur le monde dans lequel elle s’élabore. Néanmoins, rien dans cette pièce n’est réductible à un propos ou une opinion. Rien d’explicatif ou de didactique ne vient recouvrir le mouvement. Tous deux revendiquent à l’inverse une forme de naïveté : celle de laisser la danse intacte dans son élan et toujours ouverte. Sans autre fin qu’elle-même, la danse s’inscrit ici à la lisière : entre formes qui apparaissent et disparaissent, et forces souterraines qui les traversent. Abstraite au premier abord, cette danse se révèle, dans sa matérialité même, absolument concrète : elle offre au regard des récits organiques, physiques, sensibles – en un mot, humains.
La vie nouvelle est une épure poétique. Deux corps, un espace lumineux, un piano, un cylindre : tout ici entre en conversation. Dans une écriture dépouillée, ce duo dansé s’ouvre à une contemplation active. Il donne à voir le plaisir d’une douce transe, expérience extatique qui porte vers un temps décisif, toujours déjà là, mais qui ne cesse d’advenir. Cette félicité, en rien morale ou simpliste est au coeur de cette traversée. Deux présences y goûtent les gestes, les mouvements, les silences, les regards, comme autant de vagues qui déferlent et refluent. Deux corps explorent les possibles infinis que recèlent leurs propres limites : le renouvellement incessant, la transformation perpétuelle, ce qui se régénère et se réinvente dans un langage commun. La vie nouvelle s’ouvre ici et maintenant, tour à tour fragile et puissante, toujours délicate.
La vie nouvelle
Théâtre
Sylvain Huc / Mathilde Olivares
Théâtre Sorano
Spectacle présenté en complicité avec La Place de la Danse / DANSORAMA festival
Durée 1h
À partir de 12 ans
Après dix ans de collaboration, Sylvain Huc et Mathilde Olivares écrivent et dansent ensemble pour la première fois. Cette création naît d’une forme singulière d’amitié, façonnée dans la danse mais nourrie aussi par une réflexion partagée sur le monde dans lequel elle s’élabore. Néanmoins, rien dans cette pièce n’est réductible à un propos ou une opinion. Rien d’explicatif ou de didactique ne vient recouvrir le mouvement. Tous deux revendiquent à l’inverse une forme de naïveté : celle de laisser la danse intacte dans son élan et toujours ouverte. Sans autre fin qu’elle-même, la danse s’inscrit ici à la lisière : entre formes qui apparaissent et disparaissent, et forces souterraines qui les traversent. Abstraite au premier abord, cette danse se révèle, dans sa matérialité même, absolument concrète : elle offre au regard des récits organiques, physiques, sensibles – en un mot, humains.
La vie nouvelle est une épure poétique. Deux corps, un espace lumineux, un piano, un cylindre : tout ici entre en conversation. Dans une écriture dépouillée, ce duo dansé s’ouvre à une contemplation active. Il donne à voir le plaisir d’une douce transe, expérience extatique qui porte vers un temps décisif, toujours déjà là, mais qui ne cesse d’advenir. Cette félicité, en rien morale ou simpliste est au coeur de cette traversée. Deux présences y goûtent les gestes, les mouvements, les silences, les regards, comme autant de vagues qui déferlent et refluent. Deux corps explorent les possibles infinis que recèlent leurs propres limites : le renouvellement incessant, la transformation perpétuelle, ce qui se régénère et se réinvente dans un langage commun. La vie nouvelle s’ouvre ici et maintenant, tour à tour fragile et puissante, toujours délicate.
Conception, chorégraphie, interprétation Sylvain Huc et Mathilde Olivares • Univers sonore et conseil artistique Fabrice Planquette • Création lumières Jan Fedinger • Regard extérieur Théo Aucremanne • Assistante / regard extérieur Juliana Béjaud • Interlocuteur Daniel Larrieu • Régie lumière et régie générale Manfred Armand • Régie son Bernard Lévéjac • Costumes Lucie Patarozzi • Graphisme, photos Loran Chourrau.
Coproduction : Montpellier Danse 2025, résidence de création à L’Agora – Cité internationale de la danse, Ville de Tournefeuille, Scène de Bayssan, Espaces Pluriels – Scène conventionnée (Pau), Théâtre de la Vignette (Montpellier), Théâtre Molière Sète Scène Nationale Archipel de Thau, CCN Ballet – Malandain Ballet Biarritz, La Place de la danse – CDCN Toulouse Occitanie, le Réseau Danse Occitanie. Soutien : L’Estive – Scène nationale de Foix et de l’Ariège par le biais de la compagnie ZZZ, Théâtre de la Digue – Cie 111, CENTQUATRE – PARIS, Aide à la création de la Région Occitanie. Mécènes : Tranquilisafe, Librairie Ombres Blanches. La compagnie Sylvain Huc est soutenue au sein du réseau des Centres de développement chorégraphique nationaux, en particulier par ceux de Toulouse (La Place de la danse), Roubaix (Le Gymnase), Avignon (Les Hivernales) et Uzès (La Maison). Sylvain Huc a également été sélectionné par le réseau européen Aerowaves pour l’édition 2019 du festival. La compagnie Sylvain Huc est conventionnée par le ministère de la Culture / DRAC Occitanie. Elle est associée à la ville de Tournefeuille depuis janvier 2020. Sylvain Huc est artiste complice de la Place de la Danse – CDCN Toulouse / Occitanie.